77777°L'EPEE DE VERITE777777
777La Première Leçon du Sourcier777
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777Edition : Bragelonne7777
77777p.390,prix: 5,9Oe;77777
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- Sous le nom de Romain Kacew
- 1935 : L'Orage (publié le 15 février 1935 dans Gringoire)
- 1935 : Une petite femme (publié le 24 mai 1935 dans Gringoire)
- 1937 : Le Vin des morts
- Sous le pseudonyme de Romain Gary
- 1945 : Éducation européenne
- 1946 : Tulipe
- 1949 : Le Grand Vestiaire
- 1952 : Les Couleurs du jour
- 1956 : Les Racines du ciel
- 1960 : La Promesse de l'aube
- 1961 : Johnnie Cœur
- 1962 : Gloire à nos illustres pionniers (nouvelles)
- 1963 : Lady L.
- 1965 : The Ski Bum
- 1965 : Pour Sganarelle (Frère Océan 1) (essai)
- 1966 : Les Mangeurs d'étoiles (La Comédie américaine 1)
- 1967 : La Danse de Gengis Cohn (Frère Océan 2)
- 1968 : La Tête coupable (Frère Océan 3)
- 1969 : Adieu Gary Cooper (La Comédie américaine 2)
- 1970 : Chien blanc
- 1971 : Les Trésors de la Mer Rouge
- 1972 : Europa
- 1973 : Les Enchanteurs
- 1974 : La nuit sera calme (entretien fictif)
- 1975 : Au-delà de cette limite votre ticket n'est plus valable
- 1977 : Clair de femme
- 1977 : Charge d'âme
- 1979 : La Bonne Moitié
- 1979 : Les Clowns lyriques
- 1980 : Les Cerfs-volants
- 1981 : Vie et mort d'Émile Ajar (posthume)
- 1984 : L'Homme à la colombe (version posthume définitive)
- Sous le pseudonyme de Fosco Sinibaldi
- 1958 : L'Homme à la colombe
- Sous le pseudonyme de Shatan Bogat
- 1974 : Les Têtes de Stéphanie
- Sous le pseudonyme d'Émile Ajar
- 1974 : Gros-Câlin
- 1975 : La Vie devant soi
- 1976 : Pseudo
- 1979 : L'Angoisse du roi Salomon
Tu seras un héros, tu seras général, Gabriele D’Annunzio, Ambassadeur de France – tous ces voyous ne savent pas qui tu es ! Je crois que jamais un fils n’a haï sa mère autant que moi, à ce moment-là. Mais alors que j’essayais de lui expliquer dans un murmure rageur qu’elle me compromettait aux yeux de l’Armée de l’Air, et que je faisais un nouvel effort pour la pousser derrière le taxi, son visage prit une expression désemparée, ses lèvres se mirent à trembler, et j’entendis une fois de plus la formule intolérable, devenue depuis longtemps classique dans nos rapports : – Alors, tu as honte de ta vieille mère ?
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